bel oiseau de malheur
Un héron sur le toit du monde.
Un chien couché garde l'entrée
D'un paradis artificiel
Emplit de thé noir et de bière.
L'espace temps diminue soudain,
Et à part toi je ne vois rien.
Dans l'infini de tes yeux verts,
Tu m'absorbes et tu me déchires
Comme une feuille de papier.
Mais moi je voudrais te baiser.
Tu parles parles et moi aussi,
Dans un délire frénétique.
Et le temps joue sa partition
Je ne peut pas te retourner
Sur le plancher.
Finis ton verre, finis le mien.
Signal d'alerte dans le chemin
Le téléphone joue son rôle,
Je dégringole prend la pose.
Mais sans que je te déshabille
Le sol se couvre de feuillage.
Et l'heure avance avec la nuit
Je n'en aurais pas davantage.
C'était écrit depuis longtemps,
On le savait, on s'en doutait.
Mais sans y prendre garde à temps,
On aurait risqué de glisser.
Heureusement que tu protèges ta vie ma vie et puis la leur.
Heureusement qu'un sortilège à eu raison de nos deux cœurs.
Et moi j'avance dans la fumée.
Ça fait déjà autant d'années
Que par à coups, de temps en temps,
Tu me perfores les sentiments.
Mais je m'en vais sans conditions,
Et tu repars trop gentiment
Pour disparaitre à tout jamais
Comme à l'accoutumée.
Et si nos deux vies s'entrecroisent,
Si elles s'attirent ou bien se toisent,
Si le désir et la douleur se mélangent en amour passion,
Je serais prêt pour mon malheur à en absorber le poison.
Tu m'absorbes et tu me déchires
Comme une feuille de papier.
Mais moi je voudrais te baiser.
Tu parles parles et moi aussi,
Dans un délire frénétique.
Et le temps joue sa partition
Je ne peut pas te retourner
Sur le plancher.
Finis ton verre, finis le mien.
Signal d'alerte dans le chemin
Le téléphone joue son rôle,
Je dégringole prend la pose.
Mais sans que je te déshabille
Le sol se couvre de feuillage.
Et l'heure avance avec la nuit
Je n'en aurais pas davantage.
C'était écrit depuis longtemps,
On le savait, on s'en doutait.
Mais sans y prendre garde à temps,
On aurait risqué de glisser.
Heureusement que tu protèges ta vie ma vie et puis la leur.
Heureusement qu'un sortilège à eu raison de nos deux cœurs.
Et moi j'avance dans la fumée.
Ça fait déjà autant d'années
Que par à coups, de temps en temps,
Tu me perfores les sentiments.
Mais je m'en vais sans conditions,
Et tu repars trop gentiment
Pour disparaitre à tout jamais
Comme à l'accoutumée.
Et si nos deux vies s'entrecroisent,
Si elles s'attirent ou bien se toisent,
Si le désir et la douleur se mélangent en amour passion,
Je serais prêt pour mon malheur à en absorber le poison.
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